Nous voulons aller là où il y a des besoins, et y répondre.
Après avoir parlé avec un petit peu de passion, et j’espère un peu de vigueur, car je souhaite vous convaincre, monsieur le ministre, nous aurions pu parler du foncier et de sa mobilisation. Il y a tant et tant de choses à dire, monsieur le ministre chargé du domaine !
Je rappellerai simplement que le Conseil de l’immobilier de l’État, que votre prédécesseur m’avait désigné pour le présider, a formulé cinquante propositions. Vous trouverez là un partenaire pour faire en sorte que l’État lui-même, l’État propriétaire, fasse des économies et que, tous ensemble, nous puissions valoriser la totalité de ces biens.
Sur 80 milliards d’euros, il y a au moins 5 % à 10 % d’économies à faire par an pour les quelques années qui viennent. Ensuite, l’État ayant montré l’exemple, d’autres opérateurs, d’autres institutions sauront le suivre.