Mais votre bilan est tout autre : ce ne sont que déficits, dettes abyssales, avec peu de résultats en économies en dépenses et beaucoup, beaucoup d’impôts sollicités dans l’injustice !
J’en viens par ailleurs à la question de la fiscalité des entreprises. On ne peut pas aborder les questions budgétaires en utilisant systématiquement comme arme un gros bobard : ce n’est pas possible ! Je donnerai des chiffres précis : l’augmentation de la pression fiscale était de 0,5 % en 2011, de 0,5 % également en 2012, de 0,5 % encore en 2013 et, en 2014 – si l’on neutralise l’effet de la lutte contre la fraude fiscale, c’est-à-dire ce que nous allons chercher chez ceux qui ne paient pas l’impôt afin que ceux qui le paient n’aient pas à en payer davantage –, ce taux s’établit à 0,05 %, c’est-à-dire dix fois moins. Vous n’aimez pas que l’on appelle cela une pause.