La vision de la société que vous avez, monsieur Germain, est celle où l'on coupe les têtes. Notre société a besoin de commerciaux, d'ingénieurs, de chercheurs qu'on se dispute au niveau international. Vous êtes convaincu qu'il faut niveler par le bas ; nous sommes convaincus du contraire : il faut regarder vers le haut, et ne partager les richesses qu'une fois qu'elles sont créées.