Un tiers des salariés n'ont aujourd'hui pas de mutuelle, et plus nombreux encore sont ceux qui ne bénéficient pas d'un contrat de prévoyance. En cas d'accident de travail ou d'invalidité, aucun complément de revenu ne leur est donc versé. Face à ces situations difficiles, il faudrait promouvoir la prévoyance, et non la taxer à hauteur de 25,6 %.