Monsieur Tardy, vous devriez vous réjouir : les deux comités, le COPILOR et le conseil de suivi des retraites, n’en feront plus qu’un, de cinq membres. Vous devriez donc plutôt nous féliciter pour cette simplification plutôt que de nous critiquer.
Monsieur Chassaigne, je comprends bien votre inquiétude et l’angoisse que vous inspire l’éventualité du retour de l’actuelle opposition au pouvoir, mais je vous rassure : cette structure souple ne changera rien à votre rôle de parlementaire, à notre rôle en général. N’ayez donc pas d’angoisses particulières, le Parlement sera toujours maître de son destin, avec un Gouvernement qui présente des projets de loi et un Parlement qui tranche.