Loin de moi l’idée de vouloir stigmatiser celles et ceux qui travaillent dans la fonction publique : ils ont parfois des emplois très pénibles et ils méritent notre respect, cela a été dit.
Je suis quand même surpris que vous refusiez systématiquement d’étudier et de comparer ces deux régimes – on y revient, j’en suis désolé. Je suis d’autant plus surpris, monsieur le rapporteur, que vous nous indiquez lors de nos différents échanges, dans l’hémicycle comme en commission, que les écarts entre le public et le privé ne sont pas significatifs.
Ma question est toute simple : pourquoi ne pas faire en sorte que le comité de surveillance puisse faire cette étude comparée entre les régimes, pour qu’il apporte la confirmation claire et définitive qu’il n’y a pas d’écart significatif entre les deux systèmes ?