Si je peux comprendre l'amertume exprimée par M. Estrosi, je veux aussi le mettre en garde : l'amertume est mauvaise conseillère, et peut priver quelqu'un de la lucidité la plus élémentaire quand il s'agit de juger les mesures que se propose d'adopter un autre gouvernement que celui qu'il a soutenu.
En défendant le précédent Président de la République, M. Estrosi a bien veillé à défendre son propre bilan en tant que ministre de l'industrie. La tâche n'était pourtant pas simple, car M. Estrosi a obtenu, en tant que ministre de l'industrie, les résultats que l'on sait… (Applaudissements sur quelques bancs du groupe SRC.)