Et s’il fallait absolument qu’un produit qui quitte la zone de coopération renforcée ne soit plus taxable, nous verrions toutes les activités financières se transférer à Londres ou à Genève : je ne le souhaite pas et vous non plus, j’en suis sûr.
D’autre part, il faudra taxer les produits les plus spéculatifs, ce qui vaut notamment pour ce qu’on appelle les produits dérivés. Je peux vous assurer que nous poursuivrons cet objectif, en échangeant et en dialoguant, avec le Parlement, les associations, les ONG. Notre engagement est intact.