…renier leur choix de 2002 ? Un tel revirement ne peut pas s’expliquer par l’évolution des connaissances. À l’époque, il s’agissait de recherches fondamentales. Aujourd’hui, nous sommes à l’aube des premiers essais thérapeutiques, et un refus apparaît encore moins compréhensible.
De plus, nous savons maintenant qu’aucune alternative – je répète : aucune alternative – ne peut offrir une substitution totale aux cellules souches embryonnaires.