J’entends votre remarque, monsieur Chrétien. Mais vous savez, la France a réuni à Marseille, aux côtés du président du Parlement européen, quarante-deux présidents des parlements du bassin méditerranéen, et ils nous ont dit : « Nous sommes à la porte de la France, à la porte de l’Europe. » Je n’aurais pas été fière que le Gouvernement ne prenne pas à bras-le-corps le problème d’Aix-Marseille-Provence.