Non, non ! Monsieur de Courson, monsieur Mariton, je vous le dis maintenant pour ne plus avoir à le dire au cours du débat : je ne conçois pas le débat parlementaire comme une agression permanente. Je ne donne aucune leçon, et j’apporte des réponses précises aux questions qui me sont posées. Je vous le dis maintenant, car c’est ma conception du débat parlementaire. Nous allons passer de longues heures ensemble : si vous avez envie de continuer sur ce mode, vous en avez le droit, mais vous continuerez seuls.