Monsieur le député, par la réforme du crédit d’impôt, nous pouvons davantage cibler les aides. Tout au long de ce débat, vous avez expliqué qu’il fallait que nous procédions à des politiques permettant de garantir que l’argent public est alloué dans des conditions optimales. Mais quand nous le proposons dans le secteur absolument stratégique pour nous qu’est celui de l’apprentissage, voilà que vous considérez que le pilotage fin et attentif de l’argent public n’est plus une priorité.