C’est la BCE qui va financer le mécanisme universel de supervision. Par ailleurs, alors que mon amendement proposait de plafonner au niveau des recettes prévisibles, le Gouvernement propose, par prudence, de plafonner au niveau des dépenses prévues. Je pense que, dans l’immédiat, l’essentiel est de prévoir un plafonnement : il sera toujours temps de revoir les choses lors de l’examen du prochain budget, dans le cadre d’un travail effectué au sein de la commission des finances – sans doute M. Mariton sera-t-il d’accord avec moi sur ce point.