Notre volonté n’est pas de mettre sous tutelle les chambres de commerce et d’industrie, avec lesquelles nous entretenons d’ailleurs une relation de confiance, comme en témoigne la concertation très longue qui s’est déroulée avec elles.
L’explication est simplement qu’une trajectoire permettant de donner toutes les garanties aux chambres de commerce doit aborder la totalité des ressources dont elles disposent : il y va de leur intérêt et du nôtre. Il n’y a donc pas de raisons de voir dans cette démarche, qui est destinée à se coordonner avec les chambres en toute transparence, une mauvaise manière que nous leur ferions.