Ce ne sont pas des mots, ce sont des actes. Ce ne sont pas des statistiques, ce sont des visages d’enfants. Je les ai vus à l’école Bernard-Cadenat, je les ai vus, avec vous, au lycée Saint-Exupéry, je les ai vus au lycée Artaud, où un enseignant s’était suicidé face à la difficulté des conditions de travail.
Toute notre action a pour objet de s’inscrire dans la durée : nous avons ainsi ouvert treize classes pour l’accueil des moins de trois ans, on dénombre 38 % de décrocheurs de moins en un an, et nous agissons en faveur du primaire, pour tous les enfants de France, sans discrimination.