… et donc notre industrie automobile.
Que M. Roumegas le dise, cela ne nous choque pas beaucoup parce qu’il nous a habitués depuis ce matin à des positions originales, mais il nous semble assez grave que le ministre présent au banc ne réagisse pas.
Peut-être faudrait-il interrompre notre séance pour demander à M. Montebourg de venir d’urgence participer au débat, puisqu’il s’agit manifestement d’un vrai problème !