Vous êtes dans un état anormalement nerveux, monsieur le président Accoyer !
Pour que les choses soient bien claires, messieurs Accoyer et Tian, le Gouvernement est maître de ses réponses. Et comme nous avons une stratégie qui rassemble l’ensemble de ses membres, je la précise à nouveau.
Il est normal de se préoccuper de problèmes de santé publique et je comprends que M. Roumegas le fasse, tout comme nous les avons nous-mêmes à l’esprit. Néanmoins, dès lors qu’il s’agit de traiter de sujets fiscaux, industriels ou sociaux, puisque les questions fiscales peuvent aussi avoir un impact social, nous privilégions – c’est ma réponse et je suis désolé que vous n’y adhériez pas parce qu’elle a une certaine cohérence – des approches globales sur des approches sectorielles, parce que celles-là permettent de maîtriser la totalité des conséquences collatérales des décisions que nous prenons, ce qui n’est pas le cas de celles-ci.
C’est pourquoi j’ai répondu à M. le député Roumegas en lui proposant une bonne méthode,…