…et qui, affaiblis et rendus plus vulnérables par la crise, n’ont rien d’autre que les services publics et la protection sociale pour tenir.
Mesdames et messieurs les députés de la majorité, cette idée du consentement à l’impôt, cette volonté de ne pas sombrer dans le poujadisme fiscal, cette volonté d’accepter le débat sur la pression fiscale et la réforme fiscale parce qu’il s’agit d’un débat juste, c’est ce qui nous sépare de la droite !