Permettez-moi un dernier mot, madame la présidente. J’aurais voulu m’exprimer sur un amendement concernant les biens étrangers ; vous n’aviez pas vu que j’avais levé la main, mais ce n’est pas grave. Monsieur le ministre, si l’on veut régler ce problème, il faut cesser d’imposer les gens de manière inéquitable car on assiste aujourd’hui à une fuite des Français vers l’étranger. Je vis dans une zone frontalière dans le Nord. À côté de chez moi, les maisons d’un quartier entier sont à vendre parce que les gens sont tous partis en Belgique, à trois kilomètres.