Merci, monsieur le ministre délégué, d'avoir rappelé que l'objectif de 0,7 % n'était pas abandonné. Dès que nous serons sortis des difficultés budgétaires dont nous avons hérité, nous pourrons reprendre la marche destinée à l'atteindre.
De même, vous avez rappelé à juste titre que la France avait été un précurseur non seulement pour l'institution d'une taxe sur les transactions financières, mais aussi s'agissant de son affectation. Lorsqu'une coopération renforcée aura permis de la généraliser à l'échelle européenne, la taxe deviendra ce qu'elle doit être : une source importante de financement de l'aide au développement.
La discussion et le vote en séance publique des crédits de cette mission auront lieu le mercredi 6 novembre.