C’est votre politique qui est en cause, et rien d’autre : ni le passé, ni les autres. Vos réponses, ici trop souvent bravaches, sont reçues dans nos circonscriptions comme des provocations.
L’heure est au réalisme. Il n’est que temps : les entreprises ont besoin de faire du chiffre d’affaires pour embaucher et de trésorerie pour investir. Pour cela, il faut être compétitif, c’est-à-dire baisser les charges et les impôts. C’est l’unique question ; le reste n’a pas de sens.
Monsieur le Premier ministre, quand allez-vous prendre des décisions qui vont dans le sens de l’entreprise, c’est-à-dire de l’emploi ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)