Vous arguez du fait que nous manquons de magistrats pour refuser de créer le parquet financier et, par conséquent, d’organiser la lutte contre la fraude. Tandis que nous donnons une impulsion en introduisant des dispositions dans la loi qui faciliteront l’action de la justice grâce au procureur financier, il faudrait, selon votre logique, donner des moyens supplémentaires aux JIRS.