C’est pour le moins contradictoire, mais je vous rejoins quant à l’ambition : il faudra à terme, en effet, mettre au gabarit l’ensemble de l’axe. Il ne s’agit pas d’un simple tracé de quelques centaines de kilomètres entre les deux capitales, mais d’un maillon sur une ligne bien plus longue, qui permettra aussi l’ouverture de l’Europe du sud aux Balkans et aux anciennes républiques de l’Union soviétique.
Quant aux accès français, je sais que cela vous intéresse, ils viennent d’être déclarés d’utilité publique au mois d’août dernier, cela ne vous a pas échappé, et doivent être envisagés de manière progressive, avec une première phase de 4,4 milliards d’euros visant à traiter prioritairement la section Lyon-Chambéry, la plus contrainte en termes de trafic …