Il y a une certaine cohérence, disais-je, à trouver un meilleur équilibre. J'avais proposé qu'il y ait un malus, qu'on ne le fasse peut-être pas monter jusqu'au ciel, et qu'il n'y ait pas de bonus.
Il y a un vrai problème d'opportunité, monsieur le ministre. Voici ce que je lis dans Les Échos d'aujourd'hui : « Les constructeurs auto français ne seront pas épargnés par l'alourdissement du malus 2013 ». Dans la situation actuelle de l'industrie automobile, le Gouvernement a la main excessivement lourde.