Comme chacun est fatigué, comme chacun sait que les autres sont au moins aussi fatigués que lui-même, je suggère de faire preuve d'indulgence, mais aussi, pour une fois, monsieur Lagarde, de charité publique. Vous m'avez dit « jamais », mais je vous suggère, pour une fois, d'en faire preuve, à l'égard de tous ceux qui siègent en permanence, et dont on peut comprendre qu'ils aient, de temps à autre, des mouvements d'humeur, en réponse à d'autres mouvements d'humeur.
Sachons relativiser tout cela, et souvenons-nous que tout ce qui est excessif n'a pas d'importance. L'essentiel demeure : la qualité des travaux que nous menons ici, je l'espère, dans le meilleur des esprits.