Même avis, monsieur le président. Tout ce qu’ont dit les deux rapporteurs montre bien que nous partageons le souhait de maintenir la cohérence des programmes d’investissements d’avenir, sous l’égide du Commissariat général à l’investissement. Nous avons aussi la volonté que les 100 millions du programme « Projets innovants en faveur de la jeunesse » soient utilisés de manière cohérente et que l’appel à projet soit géré par le ministère.
Et ce n’est pas parce que ces 100 millions seront gérés par l’ANRU pour des raisons de facilité financière que l’ensemble des projets seront consacrés à la politique de la ville. Ils peuvent intéresser l’ensemble des territoires et le fait de passer par l’ANRU ne répond qu’à un souci de facilité pour les projets d’investissements d’avenir pour la jeunesse.