Ce dispositif ne pourrait-il pas s’étendre à l’ensemble des outre-mer et pourquoi pas – osons-le ! – aux zones urbaines sensibles de France, frappées elles aussi par la délinquance juvénile ? Nous serions, dès lors, en position d’être, non pas d’éternels consommateurs importateurs, mais des concepteurs, des producteurs, des exportateurs d’une ingénierie sociale innovante et féconde, éprouvée sur le terrain et porteuse d’un espoir immense. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, car oui ! nous sommes capables, chez nous !
On parle souvent de l’apport de la France à l’outre-mer, mais qui se demande ce que les outre-mer apportent à la France ?