capitaine Karine Béguin, chef du département Investigations sur Internet de la division de lutte contre la cybercriminalitéService technique de recherches judiciaires et de documentation, STRJD :Tout est possible : il se peut que certaines personnes se tournent effectivement vers Internet, qui garantit l'anonymat. Mais nous n'avons pas assez de recul à l'heure actuelle pour l'affirmer.