Le libellé de l'article 16 ne permettra pas de faire quoi que ce soit contre le client sur Internet, car on ne peut pas identifier la personne qui contacte une prostituée par téléphone ou par mail pour lui proposer des actes sexuels rémunérés. Les échanges d'appels téléphoniques et de mails qui suivent l'annonce relèvent en effet de la correspondance privée.