Comme je l'ai indiqué, nous disposons actuellement de l'arsenal législatif nécessaire en matière de lutte contre le proxénétisme et la traite des êtres humains sur Internet. Il nous faut par ailleurs respecter l'obligation de non-provocation inscrite dans le droit français. Peut-être un temps de réflexion serait-il utile pour voir s'il est possible d'ajouter à la législation des éléments qui nous permettraient d'aller plus loin dans nos investigations sur Internet.