Non. Si nous découvrons un site de référencement explicite – certains comptent plus de 1 000 fiches d'escorts, dont certaines proposent des prestations sexuelles –, nous n'engageons pas de procédures contre ces personnes. Ce qui nous intéresse, c'est le titulaire du site, la personne qui met ces fiches en ligne et récupère les subsides de la prostitution. Ce ne sont pas les personnes prostituées que nous visons.