Il s’agit plutôt d’un amendement de repli par rapport à l’amendement de notre collègue Mme Louwagie. Il s’agit en fait de substituer le mot « vingt » au mot « onze ».
Si l’on retient le seuil de onze salariés, près de 60 % des apprentis sont concernés par cette nouvelle prime. Ils sont en revanche 80 % si l’on retient le seuil de vingt salariés, et on sait aussi que ce sont ces jeunes, formés dans ces petites entreprises, qui seront, demain, créateurs d’entreprises ou repreneurs d’entreprises artisanales. C’est donc un véritable terreau où peuvent s’enraciner à la fois l’avenir de ces jeunes et l’avenir de nos entreprises.