Nous n’avons donc pas d’autre choix et nous devrons aussi, sans doute, exploiter la piste des biens domaniaux que vous n’avez pas été capables de remettre en état entre 2008 et 2012. Je sais qu’il n’est pas facile de trouver une solution mais la situation est si catastrophique que nous n’avons d’autre choix que de maintenir les BEA, voire de les étendre au-delà des casernes locales et territoriales.