Vous avez entendu comme nous, monsieur le Premier ministre, l’appel des Bretons. Il ne s’agit pas simplement des bonnets rouges que vous évoquez, mais de la désespérance de gens quotidiennement confrontés à une grave crise.
Vous avez présenté un plan breton, après un plan lorrain, ainsi qu’un plan pour Marseille. Ce que je vous demande aujourd’hui, monsieur le Premier ministre, c’est un plan pour la France !