mais elle est particulièrement dangereuse, parce que, à Marseille comme ailleurs, ce dont nous avons besoin – le Premier ministre vient de le rappeler –, c’est d’unité et de rassemblement autour des valeurs de la République.
Quand un parlementaire de votre département est poignardé ; quand une ministre de la République est insultée ; quand le chef de l’État est sifflé sur les Champs-Élysées le jour de la commémoration du 11 novembre, qui doit pourtant rassembler les Français autour de la mémoire et des valeurs de la patrie, eh bien, dans cet hémicycle, où bat le coeur de la démocratie, comme partout où vit la République, la seule réponse possible, madame Boyer, c’est le rassemblement autour de nos valeurs. La première phrase de votre question n’a donc pas lieu d’être. Encore une fois, le rassemblement s’impose.