L’école est le premier investissement d’avenir. Lorsqu’elle est sacrifiée, comme elle l’a été pendant dix ans, c’est l’avenir du pays qui se trouve sacrifié. Et nous retrouvons dans tous les domaines, qu’il s’agisse de l’industrie, de l’économie ou de la dette publique, ce que nous avons vécu avec l’école : une politique incapable de se fixer un horizon.