Marylise Lebranchu, ministre de la réforme de l’état, de la décentralisation et de la fonction publique :
Nous nous en sommes donc tenus à la raison, qui était de ne pas, en pleine crise économique, dépenser davantage pour nous faire plaisir en cédant à une idée médiatico-politique facile, et sans doute déraisonnable.