Un certain nombre de maires et de présidents de conseils généraux de tous courants politiques, après la suppression du jour de carence, ont commencé à discuter, mesdames et messieurs les parlementaires – certains non, monsieur Accoyer, pas vous, sans aucun doute, mais M. Pélissard le sait puisque nous aurons quelques stands bien illustrés au congrès des maires de France – de régimes de prévoyance couvrant le jour de carence. Certains l’ont mis en place pour 8 à 12 euros par salarié et par mois.