Sur la base des conclusions de la commission Mobilité 21, nous avons quant à nous séquencé et hiérarchisé les priorités puis nous avons engagé une perspective de grands projets à hauteur de 30 milliards d’ici 2030.
Nous voulons répondre à une logique précise. Par exemple, nous voulons régler les problèmes des noeuds ferroviaires car, à défaut, les grands réseaux sont inutiles. Nous entendons aussi répondre à nos engagements internationaux avec l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne.