Une fois n’est pas coutume, je rejoins M. Mariton : il faut tenir compte de la fragilité de la presse. Il serait utile de laisser sa chance au mécanisme d’accord volontaire et consensuel avec la profession.
C’est la raison pour laquelle je souhaite le retrait des amendements. Faute de quoi, l’avis du Gouvernement sera défavorable.