Vous parlez ainsi des professionnels de la filière hippique, dont on voit mal ce qu’ils viennent faire dans cette affaire. Vous parlez plus sérieusement de la crise bretonne, que vous essayez d’instrumentaliser depuis des mois. Plus exactement, vous instrumentalisez la taxe poids lourds dans le cadre de la crise bretonne. Vous savez très bien que celle-ci n’a rien à voir avec la taxe poids lourds.