Vous parlez de l'intervention de la main de l'homme, monsieur le rapporteur général, mais l'évolution du trait de côte comme à l'intérieur des estuaires est parfois la conséquence de l'intervention de l'homme justement, qui a endigué, désendigué et qui n'a pas toujours fait ce qu'il devait faire. Il y a aujourd'hui des personnes qui sont menacées, en raison de risques naturels, certes, mais aussi de risques qui sont la conséquence indirecte de l'intervention de l'homme : cela mérite qu'on y regarde de près.
J'avais la semaine dernière une réunion avec des propriétaires qui sont aujourd'hui très inquiets : les fonds dont vous parlez ne leur apportent pas de réponse.
(L'amendement n° 788 est adopté.)