Michèle Delaunay, ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l’autonomie :
La remise en cause de l’AME conduirait à une dégradation de l’état de santé des bénéficiaires et à un retard de la prise en charge des malades. Les amendements présentés ne permettent pas de maîtriser la dépense.