Vous avez raison. Le bureau de l'entraide civile et commerciale internationale de la direction des affaires civiles et des grâces m'avait saisie d'une dizaine de cas. Sur ce sujet difficile, j'avais d'ailleurs envisagé de confier une mission à des parlementaires, mais on m'a fait valoir que les cas étaient peu nombreux, et que les instruments juridiques existaient.