Vous nous expliquez que, plutôt que d’augmenter le taux de TVA appliqué à ce qu’on appelle les restaurants rapides, ce que nous dénonçons comme un des éléments de la « malbouffe », il faut baisser celui qui s’applique aux restaurants que vous appelez les restaurants ouvriers. Pour notre part, nous nous sommes toujours battus pour qu’il y ait une vraie taxation des restaurants rapides.