…avec de grandes déclarations sur la nécessité de diminuer ces dotations de 15 % pendant la durée du quinquennat, et en les asphyxiant par un transfert de charges.
De l’autre côté, la main sur le coeur, ils leur offrent la possibilité de créer un impôt de plus pour qu’elles puissent s’en sortir – je salue le courage des députés de la majorité qui l’ont dénoncé –, et en leur infligeant une double peine au passage : cet impôt supplémentaire sera soumis à une péréquation.
Mes chers collègues, c’est inacceptable parce que cela frappe au coeur de nos compatriotes, qui n’en peuvent plus. Il y a une asphyxie fiscale : les gens ne peuvent plus payer.