Vous ruinez les Français, et vous les divisez. Pour la ville, nos moyens ; pour la campagne, vos dettes… Nous voulons avoir le choix de vivre et de travailler à la campagne et ne pas juste mourir au fond des bois.
Je n’ose même pas évoquer les rythmes scolaires, qui, apparemment, ne changent pas le rythme des grèves mais qui vont éliminer les petites écoles dans les communes qui ne pourront pas financer et organiser le périscolaire.
Le vote contestataire, partout en France et en milieu rural, n’est pas le signe non d’une montée du racisme ; c’est celui d’un ras-le-bol des inégalités et des injustices sociales et fiscales.