Je suis d'accord avec vous, s'agissant de la personne qui propose d'échanger un logement contre un service sexuel. Mais je parle de ceux qui permettent, au travers de leur publication, ce type d'annonces. Aujourd'hui, ces prestataires – petits journaux, publications Internet – ne sont pas inquiétés. Dans la mesure où ils « tolèrent » une activité de prostitution, on pourrait parler de proxénétisme.