Je veux répondre à Mme Poletti qui nous accuse d’être de mauvaise foi. J’ai cru entendre dire ici-même, dans cet hémicycle, pendant cinq ans, la main sur le coeur : « Nous créerons un cinquième risque. »
Vous l’avez répété, nous y avons travaillé, avec Denis Jacquat, avec vous Mme Poletti, et j’ai attendu cinq ans. Cela demande donc un peu de temps. Nous agissons depuis 18 mois seulement. Personne n’a dit, madame Poletti, qu’il y aurait un cinquième risque demain matin. Vous l’avez promis il y a cinq ans, vous ne l’avez pas fait, alors, tout de même, un peu de responsabilité.