La difficulté réside dans le fait qu'il ne faut pas mesurer les émissions de CO2 sur tout le parc installé, mais bien la contribution marginale de toute nouvelle installation d'équipement de chauffage. Les valeurs de 500 à 600 grammes par kWh évoquées par RTE et l'ADEME ne prennent en compte que les consommations aux heures de pointe, et paraissent excessives. Si les travaux du groupe de travail de l'ADEME reprenaient, ils aboutiraient probablement, pour le niveau d'émission marginal prospectif, à une valeur de l'ordre de 300 à 350 grammes par kWh.